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La foi chrétienne et l'avortement

 

Pourquoi l’Église est contre l'avortement ?

 

L'enfant encore à naître,dès l'instant de sa conception,alors qu'il n'est encore qu'un embryon a droit à la même dignité, qui commence par le droit à la vie de toutes personnes humaines.On ne peut pas définir l'instant à partir duquel l'ovule
fécondé est pleinement une personne humaine,il n'y a pas d'autre solution acceptable que de lui donner dés l'instant de la fécondation tous les droits d'une personne humaine.
L’Église est contre l'avortement car elle est toujours pour la vie et la protège inconditionnellement,surtout là où elle est la plus faible,fragile et vulnérable.C'est ce qu'elle fait tout au long de l'existence .
L’Église est donc contre l'avortement car c'est un meurtre. Et plus la personne assassinée est faible ,plus le meurtre est coupable.Or personne est plus faible qu'un embryon. Lors du drame d'un viol,on ne répare pas les souffrances en tuant un innocent.Personne n'a demandé à ce qu'il vienne, pas même lui, mais cela ne saurait justifié qu'on s'en débarrasse parce qu'il dérange.
C'est complètement utopique de chercher un monde sans guerre,sans violence (...) tant qu'on laissera se dérouler ces premières guerres et violences.Surtout qu'elle touche à ceux qui n'ont pas même leurs cris pour se défendre.
La femme qui a déjà subi le traumatisme du viol n'a pas besoin qu'on y ajoute celui de l'avortement.C'est toujours une blessure d'une incroyable profondeur, car elle touche à la faculté de transmettre la vie qui est dans l'essence même de l'identité de la femme.
Mère Teresa rappelait courageusement devant le Sénat Américain: << quand l'enfant devient l'ennemi numéro un, alors tout homme est susceptible d'être mon ennemi à abattre. Que tous ceux qui ne peuvent garder leur enfant me le
confient >>.
L'enfant qui viendra après celui qui aura été avorté risque d'être marqué par cet
avortement, car le lieu de sa croissance, qui aurait toujours du être le berceau de la vie, aura été marqué par la mort.
De plus, à un niveau inconscient, il saura que sa mère en aura rejeté un autre, avec tous les traumatismes que ça implique.
Il est faux de prétendre qu'un enfant handicapé est forcément malheureux. Ils sont souvent très joyeux.
Et si il est vrai qu'il va souffrir, ça ne justifie aucunement qu'on le tue. Car nous passons tous par la souffrance à des degrés divers, sans que ça nous ôte le droit de vivre. La dignité de la personne handicapée, qui n'est aucunement atteinte par son handicap, interdit qu'on s'en débarrasse .
Il est à noter que les personnes qui prétextent le bien de la personne handicapée pour justifier sa suppression sont rarement honnêtes: il s'agit de leur propre bien être, qui exige de ne pas avoir à s'occuper d'un plus faible, d'un ''non-productif''.
On ne peut pas dire que l’Église considère l'avortement comme un péché extrêmement grave sans rappeler que rien n'est au delà de la Miséricorde de Dieu, que tout peut être pardon si ce pardon est demandé d'un coeur sincère.
Redisons aussi que la plupart des femmes qui ont avorté ne le font pas de gaieté de coeur, mais ne sachant que faire d'autre, parfois avec la pression importante de la part de leurs famille et du corps médical.
Si vous connaissez des futures mamans qui se posent cette question cruciale, des organismes existent, je laisse quelques  adresses internet:

 

www . meredemisericorde.org/qui-sommes-nous/notre-mission /
www.diocese-annecy.fr › Services & Mouvements › Famille
https://fr-fr.facebook.com/ meredemisericorde soslavie.free.fr/page8.html

l'avortement ? l'Eglise est contre,pourquoi?
l'enfant, une joie d'être parents
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